Si vous souhaitez suivre la formation du CQP IF pour devenir coach sportif et si vous désirez savoir comment se déroulent les tests d’évaluation – car oui, il y a un test d’entrée avec des épreuves physiques à passer pour intégrer la formation du CQP IF – alors lisez cet article de blog.
En ce qui me concerne, j’ai passé ces épreuves physiques à deux reprises dans deux structures différentes.
Même s’il s’agissait de la même formation, les évaluations ne se sont pas déroulés exactement de la même manière, et les consignes pour certains des exercices variaient également.
CQP IF VS BPJEPS AF
Alors, pourquoi choisir le CQP IF alors qu’il existe également le BPJEPS AF Activités de la Forme ?
Quelles sont les différences ?
Durée de Formation CQP IF et BPJEPS AF
D’après ce que j’ai compris, la principale distinction entre le CQP IF et le BPJEPS AF réside dans la durée de la formation.
Le CQP IF, qu’il s’agisse d’une seule mention ou de deux, dure environ 6 à 7 mois.
En fait, certains centres offrent cette formation en seulement 3 mois, comme c’était le cas pour l’un des centres où j’avais postulé pour mon premier test.
En comparaison, le BPJEPS AF nécessite environ 1 an de formation.
Contenu de Formation CQP IF et BPJEPS AF
Une autre différence entre le CQP IF et le BPJEPS AF réside dans le contenu de la formation.
Le CQP IF est principalement destiné à la reconversion professionnelle ou à ceux qui souhaitent débuter rapidement dans le métier.
Il se concentre sur les compétences essentielles nécessaires à l’exercice du métier et inclut des notions de gestion de salle et de marketing.
L’objectif du CQP IF est de répondre aux besoins des employeurs de salles de sport en formant des professionnels capables de remplir les cours collectifs et de gérer efficacement les salles.
En revanche, le BPJEPS AF propose une formation plus académique avec des compétences beaucoup plus approfondies et diversifiées.
Emploi CQP IF et BPJEPS AF
En fin de compte, il me semble que les deux formations, le CQP IF et le BPJEPS AF, offrent des possibilités similaires.
Que vous ayez l’un ou l’autre, vous pouvez faire du coaching individuel avec le même nombre d’heures, etc.
Il n’y a donc pas de grande différence à ce niveau, d’après ce que j’ai compris.
Tests d’Exigences Préalables CQP IF et BPJEPS AF
La formation du CQP IF, c’est-à-dire le Certificat de Qualification Professionnelle d’Instructeur Fitness, nécessite de passer des tests d’évaluation pour y accéder.
Pour des raisons que je mentionnerai plus tard, j’ai dû passer ces tests deux fois.
Tout comme pour le BPJEPS AF, il y a des épreuves physiques à réaliser.
Pour le CQP IF, les tests d’entrée comprennent cinq exercices : les squats, le développé couché, le soulevé de terre, les fentes et l’épaulé-jeté.
Il y a également une différence notable entre les tests d’entrée du BPJEPS AF et ceux du CQP IF.
Pour le BPJEPS AF, le test d’entrée en formation inclut du Luc Léger, des tractions, du développé couché et des squats etc.
Pour le CQP IF, on constate une orientation plus marquée vers l’haltérophilie.
Aurélien Broussal CQP IF et BPJEPS
Ceci était une brève introduction sur ces deux formations.
Je vous recommande de regarder la vidéo d’Aurélien Broussal, où il aborde en détail la différence entre le CQP IF et le BPJEPS AF, avec la participation d’autres intervenants.
C’est une vidéo très intéressante.
Si vous êtes intéressé par le métier de coach sportif, je vous encourage vivement à y jeter un œil.
TESTS D’EXIGENCES PRÉALABLES CQP IF
Maintenant, je vais vous présenter de manière chronologique le déroulement des évaluations des tests d’exigences du CQP IF.
Je ferai un parallèle entre mon premier test d’évaluation et le second, et je mentionnerai les différences que j’ai pu observer entre les deux structures, bien qu’il s’agisse de la même formation, le CQP IF.
Échauffement CQP IF
Pour commencer, la première différence résidait dans l’échauffement.
Lors de mon premier test d’évaluation à Rennes, l’échauffement a commencé par un accueil et un briefing sur le déroulement des épreuves.
On nous a ensuite donné 15 minutes pour effectuer un échauffement global avant de commencer les épreuves.
Nous étions une dizaine de candidats et nous avions 15 minutes pour nous échauffer sur tous les exercices : squats, développé couché, soulevé de terre, fentes et épaulé-jeté.
Une fois l’échauffement terminé, nous avons suivi les épreuves.
Une personne passait l’épreuve avec le formateur, qui validait ou non les répétitions, tandis que les autres attendaient leur tour.
À Nantes, en revanche, c’était différent.
Nous n’étions que cinq candidats.
Au début, nous avions 15 minutes d’échauffement pour nous préparer aux squats.
Étant dans une salle sans barre olympique ni charges additionnelles, nous avons fait des échauffements au poids du corps avec du stretching et de la mobilité articulaire.
Ensuite, nous sommes passé dans la salle principale avec tout l’équipement, on nous a dit de monter progressivement en charge jusqu’à atteindre notre charge correspondante, puis de signaler quand nous étions prêts.
Nous avons suivi ce processus pour chaque exercice : squats, développé couché, soulevé de terre, etc.
La différence notable entre les deux tests était que, à Rennes, il était plus difficile pour chaque personne de faire un échauffement spécifique en raison du nombre de participants et de l’utilisation du matériel.
De plus, il y avait des cours en parallèle et des personnes s’entraînant, ce qui compliquait l’accès aux équipements.
À Nantes, étant moins nombreux et disposant de plus de matériel, nous pouvions nous échauffer spécifiquement pour chaque exercice.
La salle à Nantes était plus grande, avec deux emplacements spécifiques pour les tests pour les personnes légères comme moi et pour les personnes plus lourdes.
À Rennes, il n’y avait qu’un seul rack à squats et un seul banc disponible pour les tests, ce qui compliquait la tâche.
En conclusion, soyez prêts à vous échauffer en fonction de la situation et des conditions matérielles de chaque centre de formation.
Ordre de Passage du CQP IF
Une autre différence notable dans le déroulement de ces deux examens concerne l’organisation des participants.
À Rennes, pour optimiser le déroulement en fonction du nombre de participants, nous avons commencé par les plus légers.
Cette méthode permettait de simplement ajouter des poids au fur et à mesure, plutôt que de devoir les enlever pour une personne plus légère.
Ainsi, nous avons procédé par ordre croissant de poids.
À Nantes, en revanche, étant moins nombreux, l’organisation était plus flexible.
La personne prête pour l’évaluation passait en premier.
De plus, le fait de disposer de deux bancs et de deux racks à squats permettait une plus grande fluidité et flexibilité dans l’enchaînement des exercices.
Validation des Épreuves CQP IF
Une autre différence entre ces deux examens réside dans les critères de validation des épreuves.
À Rennes, il fallait réussir au moins trois répétitions sur cinq pour chaque épreuve.
Chaque candidat devait donc effectuer cinq répétitions par exercice et en valider au moins trois.
À Nantes, en revanche, il semblait suffire de valider cinq répétitions sur au moins trois des exercices.
Lorsque nous sommes arrivés à l’épreuve de l’épaulé-jeté, qui était la dernière, certains candidats ne s’étaient pas suffisamment entraînés pour cet exercice.
Le formateur nous a alors dit que ce n’était pas grave si nous échouions à cette épreuve, tant que nous avions déjà validé les autres.
Cela contrastait avec Rennes, où une personne a échoué à l’examen parce qu’elle n’avait pas réussi ses trois répétitions à l’épaulé-jeté, malgré la réussite de toutes les autres épreuves.
Cette différence dans les critères de validation est donc importante à prendre en compte.
DÉROULEMENT DES EXERCICES CQP IF
Maintenant, je vais détailler les exercices.
Une similitude entre les examens de Rennes et de Nantes réside dans l’ordre chronologique des épreuves physiques.
Dans les deux cas, nous avons commencé par les squats, suivis du développé couché, puis du soulevé de terre.
Les fentes venaient ensuite, et enfin, l’épaulé-jeté était l’exercice final.
Squat CQP IF
Je vais maintenant détailler les exercices en suivant l’ordre chronologique.
Nous avons commencé par les squats.
Dans les deux examens, à Rennes comme à Nantes, la charge demandée était la même : 100 % du poids du corps pour les hommes et 60 % pour les femmes.
Il est pertinent de se demander pourquoi il n’y a pas d’égalité entre hommes et femmes à ce niveau, mais je vais passer cette question pour le moment…
En ce qui concerne la technique, il n’y avait pas de critères très spécifiques à part le fait de maintenir le dos aussi droit que possible.
Que ce soit à Rennes ou à Nantes, tous les candidats ont réussi leurs répétitions de squats.
Cependant, à Rennes, certains candidats, dont un homme pesant 100 kg, avaient tendance à finir en « good morning » plutôt qu’avec un buste bien droit.
En revanche, les examinateurs n’ont pas été trop sévères sur la technique dans les deux endroits.
La différence notable était dans la manière de procéder : à Rennes, l’évaluateur indiquait lorsque le candidat pouvait commencer, après avoir placé la barre sur ses épaules.
Le candidat devait attendre l’autorisation pour descendre et remonter.
À Nantes, le candidat était libre de procéder à son rythme, avec moins d’interventions de l’évaluateur, qui ne faisait qu’indiquer si les répétitions étaient valides.
En termes de placement des pieds, dans les deux centres, les candidats étaient libres de choisir leur position, à condition d’éviter des écarts excessifs comme ceux d’un squat sumo.
Pour l’amplitude du mouvement, il était généralement demandé de descendre jusqu’à ce que les fémurs soient parallèles au sol, c’est-à-dire jusqu’à ce que le bassin soit à hauteur des genoux.
À Rennes, cette amplitude était respectée, tandis qu’à Nantes, il était demandé de descendre un peu plus bas.
Personnellement, je me suis préparé en faisant des squats à amplitude complète pour m’assurer d’être conforme le jour de l’examen.
Néanmoins, que ce soit à Rennes ou à Nantes, il n’y a pas eu de pénalisation pour des amplitudes insuffisantes.
Enfin, j’avais vu sur Internet qu’il était possible d’utiliser une bande élastique attachée à des poteaux pour vérifier l’amplitude du squat, en la plaçant au niveau des genoux.
Les candidats devaient descendre jusqu’à toucher l’élastique pour valider la répétition.
Cependant, cette méthode n’a pas été utilisée à Rennes comme à Nantes ; les évaluations se faisaient à l’œil nu.
Développé Couché CQP IF
Après avoir réalisé les squats, nous avons enchaîné avec le développé couché.
Une différence notable entre les hommes et les femmes persiste également dans cet exercice : les hommes doivent soulever 80 % de leur poids corporel, tandis que les femmes doivent soulever 40 %, soit la moitié.
Pour ce qui est du développé couché, les critères étaient les mêmes à Rennes et à Nantes.
Cependant, à Rennes, certaines répétitions n’ont pas été validées car les candidats n’ont pas réussi à amener la barre en contact avec leur buste.
Il est important de préciser que le contact ne signifie pas taper sur le buste, mais simplement toucher légèrement la poitrine avant de réaliser une extension complète des membres supérieurs.
À Rennes, ce critère de contact n’a pas toujours été respecté, entraînant le non-validation de certaines répétitions.
Soulevé de Terre CQP IF
Après le développé couché, nous avons enchaîné avec le soulevé de terre.
Là encore, il existe une inégalité : les hommes doivent soulever 80 % de leur poids corporel, tandis que les femmes doivent soulever 40 %, soit le même poids que pour le développé couché.
Concernant les consignes, il était important de garder le dos aussi droit que possible.
À Rennes comme à Nantes, aucun des examinateurs n’a autorisé un arrondi du bas du dos.
Ils ne sont pas encore sous l’emprise de certaine idéologie.
De plus, il était permis de fléchir les genoux ; il n’était pas nécessaire de garder les jambes tendues.
En revanche, il fallait veiller à toucher le sol avec les disques.
À Rennes, une exigence supplémentaire était de ne pas partir en extension à la fin du mouvement, c’est-à-dire éviter de ramener les épaules en arrière.
À Nantes, certains candidats ont effectué une extension assez prononcée, mais ces répétitions ont été validées.
Pour éviter tout problème, il est préférable de limiter l’extension de la colonne vertébrale en fin de mouvement pour être certain que la répétition soit validée.
Enfin, pour la technique du soulevé de terre, vous avez la possibilité d’utiliser une prise en pronation avec les deux mains ou une prise alternée (pronation et supination).
Vous pouvez choisir la méthode qui vous convient le mieux.
Fente CQP IF
Passons maintenant aux fentes.
Il y avait des différences notables entre les examens de Rennes et de Nantes pour cet exercice.
À Rennes, les fentes se faisaient avec des haltères : 10 kg pour les femmes (5 kg de chaque côté) et 20 kg pour les hommes (10 kg de chaque côté).
En revanche, à Nantes, étant donné que nous étions tous des hommes, nous avons utilisé une barre olympique de 20 kg.
Autre différence, à Rennes, il fallait effectuer cinq répétitions sur une seule jambe, tandis qu’à Nantes, il était obligé de faire cinq répétitions d’un côté, puis cinq de l’autre, ou d’alterner les jambes pour compléter les dix répétitions totales.
Concernant la technique, que ce soit à Rennes ou à Nantes, les fentes commençaient avec les pieds parallèles.
Vous deviez avancer un pied pour réaliser la fente et revenir en position de départ avec le pied avant replacé près du pied arrière.
À Nantes, une remarque importante a été faite : il fallait bien tendre la jambe avant pour compléter l’extension avant de revenir à la position initiale.
Il est crucial que le genou touche légèrement le sol en bas de la fente.
Comme pour le développé couché, il ne s’agit pas de taper le sol avec le genou, mais de le toucher en contrôlant le mouvement pour valider la répétition.
À Rennes, une personne ne descendait pas suffisamment pour que son genou touche le sol, ce qui a entraîné la non-validation de certaines répétitions.
Épaulé-jeté CQP IF
Ensuite, passons à l’épaulé-jeté.
Cet exercice a également montré des différences notables entre Rennes et Nantes, surtout concernant la technique d’exécution demandée.
À Rennes, la technique exigée était celle de l’haltérophilie classique. Voici les étapes à suivre :
- Réaliser un arraché pour amener la barre au niveau du menton.
- Effectuer un squat tout en préparant le développé.
- Faire le développé tout en effectuant une fente avec la barre au-dessus de la tête. C’était la seule technique acceptée.
En revanche, à Nantes, deux techniques étaient autorisées :
- La même technique d’haltérophilie détaillée ci-dessus.
- Une version plus orientée fitness, sans la fente. Il s’agissait d’un mouvement où l’on fait un arraché avec un squat pour placer la barre sous le menton, suivi d’un simple développé militaire sans la fente.
Dans les deux évaluations, à Rennes et à Nantes, les causes principales de non-validation des répétitions lors de l’épaulé-jeté étaient liées à des erreurs techniques spécifiques.
Voici ce qu’il faut surveiller :
Position basse et contact coudes-genoux :
Lorsque vous effectuez le squat avec la barre placé sous votre menton, assurez-vous que vos coudes ne touchent pas vos genoux en position basse de squat.
Cela entraîne une non-validation de la répétition.
À Rennes et à Nantes, cette règle était strictement appliquée.
Phase d’arrêt entre les mouvements :
Après avoir fait l’arracher et placé la barre sous votre menton, vous devez marquer un temps d’arrêt avant de passer à la phase de développé et fente.
Ne pas respecter ce temps d’arrêt a été une cause fréquente de non-validation à Rennes et à Nantes.
Prenez le temps de stabiliser la barre avant de poursuivre le mouvement.
Finalisation de la fente et validation finale :
À Rennes, après avoir réalisé le développé avec fente, il est crucial de marquer un temps d’arrêt en position finale (barre au-dessus de la tête, pied arrière sur les orteils).
Vous devez ensuite rapprocher votre pied arrière du pied avant tout en gardant la barre au-dessus de la tête et attendre la validation de l’examinateur avant de reposer la barre.
Beaucoup de candidats ne respectaient pas ce temps d’arrêt.
Conseils
Entraînez-vous à marquer les temps d’arrêt nécessaires et à éviter les contacts coudes-genoux.
Cela augmentera vos chances de valider vos répétitions le jour de l’examen.
Ces points d’attention peuvent faire la différence entre la validation ou non de vos répétitions.
En les respectant, vous maximiserez vos chances de réussite lors de l’évaluation de l’épaulé-jeté.
ANNULATION DU CQP IF
Pour conclure, voici les raisons pour lesquelles j’ai dû passer deux fois mes tests d’évaluation pour la formation du CQP IF, ainsi que les détails des différences entre les deux expériences.
Raisons des deux évaluations
La première fois, à Rennes :
Annulation de la formation :
Le jour de l’examen, une personne a échoué à une épreuve et une autre s’est désistée, décidant de reporter sa formation de septembre à avril.
Avec deux participants en moins, le formateur a annulé la session prévue d’avril.
Recherche d’une nouvelle structure :
Suite à cette annulation, j’ai cherché une autre structure et opté pour Nantes, où j’ai passé l’évaluation en juillet.
Bien que j’aurais pu utiliser mes résultats validés de Rennes, j’ai choisi de refaire les tests pour rencontrer les nouveaux participants et découvrir la nouvelle salle et les formateurs.
RÉSUMÉ DU DÉROULEMENT DES TESTS D’ENTRÉES DU CQP IF
Échauffement CQP IF :
- Rennes : 15 minutes d’échauffement global pour toutes les épreuves, avec un seul rack à squat, ce qui compliquait l’échauffement spécifique pour chaque exercice.
- Nantes : Échauffement spécifique pour chaque exercice, plus de matériel disponible, deux racks à squat.
Organisation des passages CQP IF:
- Rennes : Passage des plus légers aux plus lourds, pour éviter de changer les disques trop souvent.
- Nantes : Passage basé sur la préparation des participants, possible grâce à moins de participants et plus de matériel.
Validation des épreuves CQP IF:
- Rennes : Nécessité de valider trois répétitions sur cinq pour chaque épreuve.
- Nantes : Possibilité de valider cinq répétitions sur au moins trois exercices.
Squat :
- Charges : Hommes 100% du poids du corps, femmes 60%.
- Technique : Nécessité de descendre à la parallèle ou un peu plus bas.
Développé couché CQP IF:
- Charges : Hommes 80% du poids du corps, femmes 40%.
- Validation stricte : Contact de la barre avec le buste nécessaire, non validation pour absence de contact avec le buste.
Soulevé de terre CQP IF:
- Charges : Hommes 80% du poids du corps, femmes 40%.
- Consigne : Dos droit, contact avec le sol, pas d’extension excessive de la colonne.
Fentes CQP IF:
- Charges : 10 kg pour les femmes, 20 kg pour les hommes.
- Matériels : Rennes : haltères, Nantes : barre olympique.
- Exécution : Rennes : cinq répétitions sur la même jambe, Nantes : cinq de chaque côté ou en alternant.
- Amplitude : Contact du genou avec le sol, non-validation pour manque d’amplitude. Faire l’extension complète de la jambe devant.
Épaulé-jeté CQP IF :
- Rennes : Technique stricte de l’haltérophilie avec un marquage des temps d’arrêt.
- Nantes : Plus de flexibilité dans la technique, possibilité de choisir entre la version haltérophilie ou fitness, mais toujours avec respect des temps d’arrêt.
CONCLUSION DES TESTS D’EXIGENCES DU CQP IF
Découvrez la version vidéo sur les Test d’Exigences Préalables du CQP IF.
En passant deux fois les tests d’évaluation pour le CQP IF, j’ai pu observer des différences notables entre les structures et les exigences des évaluateurs à Rennes et à Nantes.
Ces expériences m’ont permis d’apprécier les nuances dans les attentes techniques et organisationnelles, tout en me préparant mieux pour la formation.
Si vous avez des questions supplémentaires ou besoin de plus de détails sur un aspect particulier des tests, n’hésitez pas à me le faire savoir.